Bienvenue sur le site de l'USML Kendo !
Depuis plus de 40 ans, le club de Kendo de Maisons Laffitte a pour philosophie de s'appuyer sur le groupe pour faire grandir le coeur. Les entraînements peuvent être difficiles et contrariants, mais quelque soit votre niveau, vous trouverez toujours du monde pour vous poussez à devenir meilleur.
D'ici, la route sera longue et ardue pour entrevoir la Voie du Sabre, mais celle qui vous mènera au Dojo sera beaucoup plus courte, on vous le promet.
Au-delà de l'art guerrier, le sabre, aussi loin que l'on remonte dans la tradition japonaise, est un moyen privilégié de recherche de perfection et de connaissance personnelle. Il fait l'objet d'un profond respect et d'une vénération quasi-religieuse. Le Kendo a toujours été, au Japon, synonyme de noblesse.
La pratique du Kendo
Le kendo se pratique pieds nus. Les kendoka (pratiquants de kendo) se considèrent comme des partenaires : ils travaillent ensemble pour progresser.
Dans le combat, l’objectif est de couper son adversaire avant que lui ne le fasse en respectant le principe de base que l’on appelle Ki Ken Taï Ichi.
- KI – La volonté, la force mentale, l’esprit. Se manifeste par le cri.
- KEN – L’acte, la coupe, le sabre. Se manifeste par la réalisation parfaite de la technique.
- TAÏ – La manière d’être, l’engagement. Se manifeste par une bonne position et le mouvement du corps.
- ICHI – L’unité, l’un
Donc, de façon très terre-à-terre, une coupe est considérée comme valable si le cri, la technique et le mouvement du corps ne font qu’un. C’est unifier la volonté, l’acte et la manière d’être.
Les frappes sont portées sur des parties du corps que nous nommons en japonais. Les protections portent le nom de l’endroit qu’elles protègent :
Les combattants s’affrontent réellement et les assauts sont d’une intensité très soutenue. Toute forme de brutalité est néanmoins rejetée car l’adversaire n’est pas un ennemi à battre, mais un partenaire indispensable aux progrès.
Le Kendo… pour les filles aussi ?
Le Kendo est traditionnellement une pratique d’hommes car c’est un art guerrier et cela le reste encore beaucoup car l’éducation des femmes ne les attirent pas forcément vers la pratique du combat. Certes, le Kendo n’est pas une pratique « délicate » : il faut un physique assez sportif et de l’endurance, on se tape dessus, on se fait mal parfois, les tenues ne sentent pas très bon…
Mais passé ce choc, plus culturel ou dû à l’éducation que réel, la femme peut vraiment s’épanouir en pratiquant le Kendo. Au-delà du gain en condition physique évident, elle gagnera en endurance, force, confiance en soi, équilibre. Une femme est l’égale de l’homme dans le dojo, il n’y a pas de différence.
Le Kendo peut être pratiqué à tous les âges, par toute personne en bonne santé, ainsi que par des enfants et des adolescents. Ses vertus pour parvenir à un juste équilibre entre le corps et l'esprit sont telles que cet art martial fait partie des programmes scolaires et universitaires japonais. Les kendoka (pratiquants de kendo) se considèrent comme des partenaires : ils travaillent ensemble pour progresser.
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